Who's your Daddy?

Certainement pas moi. 0 en 4 merde! Qu'est-ce qu'ils ont contre moi les équipes de l'Euro, elles me niaisent?

Portugal-Allemagne: J'ai déjà expliqué mon désarroi dans un post précédent. Ça commençait mal en tout cas.

Croatie-Turquie: Maudit Croates nuls. Certes, leur sélectionneur a l'air in avec son complet gris et sa boucle d'oreille mais quel manque de concentration à la fin! Mener par un but à 3 minutes de la fin au soccer et se faire égaliser, quel manière de perdre, coudonc, est-ce les Bills de Buffalo ou quoi? Et Modric qui rate le premier lancer de la séance de tirs au buts (Scott Norwood anyone?) . Mais ces Turcs méritaient la victoire. Surtout pour les belles Turqettes dans les estrades, celles qui avaient eu le droit de suivre leur frère. Et ce sélectionneur qui pourrait tenir le rôle d'un gérant de club de danseuses à Panama City.

Pays-Bas-Russie: Le Hollandais volant a été coulé. Et ce fût tout sauf les plaines de Leningrad où les adversaires de la Mère Russie se sont si souvent empêtrés. Voilà Rictus, c'est tout ce que je peux faire en matière de références historiques. Je ne suis pas un reporter de l'Agende France-Presse tout de même. Prédiction simpliste: les Russes de Guus seront à surveiller en demi-finale.

Espagne-Italie: Pourtant, l'Italie avait joué un match presque parfait pour se rendre dans les tirs au but, sa seule chance à mon avis de rivaliser avec l'Espagne, plus fluide, plus décisive dans ce tournoi. Mais le résultat souvent aléatoire de cet exercice a été au détriment de la Squadra Azzura, qui s'est permis de rater deux tirs quand même. Petit conseil à Luca Toni: au lieu de viser le penalty sur chaque jeu le grand, essaie-donc de marquer une fois de temps en temps. Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras, comme dirait Jacques Lemaire.