jeudi 26 novembre 2009

Épi(b)logue

Comme on dit, " c'est à soir que ça se passe " .

Après trois mois d'attente et beaucoup d'hésitation, j'annonce la création du " Soliloquiste ", le blogue qui fera suite aux "Soliloquistes". C'est certainement l'approche de la finale de la Coupe Grey qui a influencée sur ma décision, sans aucun doute. Période de festivités qui cette année revêt des airs nostalgiques. Vous savez tous pourquoi, ceux qui ne le savent pas, lisez les posts plus anciens, vous comprendrez.

Je ne sais trop par quel bout terminer... Probablement en vous disant que si vous ne supportez pas (encore) l'idée d'entendre parler de MB – prononcé « M-Bee », ce sera son nouveau nick, pour Mononc Ben , au yâble les cachoteries, vous savez tous qui nous sommes , surtout que MB affectionnait particulièrement les changements (ridicules) de nick : Lapsus, The B, etc. – alors vous n’êtes sûrement pas à la bonne adresse puisque ce sera constamment bourré de références à MB.

C’est quand même étrange la vie puisque je me retrouve VRAIMENT à soliloquer. J’ai toujours quelque chose à lui dire, à lui raconter, une info à lui communiquer, des jokes, des quotes que lui seul aurait comprises. Parfois je me surprends à ricaner tout seul d’une blague minable ou carrément méchante que l’on aurait délectée ensemble. On a tous un accès, très personnel, que l’on avait auprès de MB que l’on chérit. Moi, c’était ce blogue, du moins, dans les deux dernières années.

Oh, n’allez pas penser non plus que je m’étale, que je me thérapise (dans le genre Fred Pellerin) sur internet et que je vous inclus là-dedans. Comme je l’ai dit plus bas, MB était mon modèle, mon idole alors on efface pas 30 ans de mentorat en quelques pelletées de terre. Non, j’ai toujours le goût d’écrire un blogue, moi, Rictus (ainsi nommé, bien malgré moi) et si c’est seul, comme un grand (…) , que je dois le faire, alors en avant !

Qui m’aime me suive.
http://lesoliloquiste.blogspot.com/

dimanche 26 juillet 2009

Finalement, il est mort, ce blog...

Bon, vous aurez tous (... enfin, nos 4 lecteurs) compris que je saborde le blog (voir Le Lutteur, plus bas). Je ne peux continuer sans Lapsus. Lapsus est décédé d'un cancer le vendredi 17 juillet 2009. C'était non seulement le chroniqueur vedette du blog mais aussi son âme. Je ne suis qu'un side dish. Probablement qu'il aurait voulu que je continue mais je ne me sens pas capable de le faire sans lui.

Premièrement, je suis assez nul en ce qui concerne les ordinateurs et internet, je me vois donc pas administrer un blog. Deuxio, je ne peux pas consacrer autant de temps que Lapsus pour le blog (il était en congé de maladie depuis un an et plus). Et pour finir, je n'ai pas le quart de la demie de la culture et de l'érudition que Lapsus avait. Mon apport en nouvautés serait totalement insignifiant. Mes textes, pauvres et sans intérêts sans sa locomotive. Je ne serais pas à la hauteur. Je pense que Lapsus se faisait une fierté de ce (ses) blog (s) (http://etmoiquiapeur.blogspot.com/).

Toutefois, j'amerais souligner que Lapsus était mon oncle, comme un grand frère pour moi, et que malgré les bizzareries que le web peut engendrer ( son compte Facebook est toujours (à jamais ?) ouvert, on peut lui envoyer des mails..qui ne seront jamais lus, des commentaires dont il ne fera jamais la répartie, etc), je souhaiterais continuer ce que nous avons commencé ensemble, c'est-à-dire un blog, une page, où l'on peut s'exprimer en toute liberté, dans le respect (... , bon, OK, pas toujours.), en marge des grands médias, ceux que l'on consommaient de façon presque boulimique.

Nous avons perpetuellement crus, naïvement j'imagine, que notre opinion comptait. Je dis naïvement mais Lapsus aurait été en désaccord, n'en demeure pas moins que chaque choses que l'on écrivait, sans être des journalistes, relevait de chroniques que nous aurions aimés lire dans nos quotidiens. Plus incisifs, moins corporate.

C'est pourquoi je vais créer un nouveau blog intitulé Le Soliloquiste. Parce que je veux honorer la mémoire de mon collègue ( et oncle) .

Parce que je crois aussi que j'ai quand même pas mal de choses à dire (même si c'est de manière, disons, assez sporadique). Ça n'aura probablement jamais la qualité de langage des Soliloquistes (je ne maitrise pas le français, ni l'anglais, d'ailleurs, comme Lapsus le faisait), ni l'apport extra-ordinaire en trucs avant-gardistes, ni les analyses poussées de la politique amércaine ou les compte-rendus de la dernière semaine de la NFL.

Pourquoi lire ce nouveau blog, alors ? Pour vous divertir, tout simplement, en lisant des billets sur l'actualité, la culture et les sports. Ce qui a été l'essence même des Soliloquistes depuis le début.

Oh, et n'allez surtout pas croire que je fais de la pub sur un corps chaud (désolé pour l'analogie merdique). J'ai beaucoup, beaucoup de peine et je ne me sens pas capable de continuer... maintenant. Sûrement plus tard, début septembre, je dirais.

Le dernier post sur ce blog sera l'adresse du nouveau blog, pour ceux que ça intéresse.

Ensuite, basta.

Ciao, les amis.

Le Lutteur

Le plus loin que je peux me souvenir clairement de toi, c’est dans la cave chez grand-pôpa. On jouait avec ton Faucon Millenium, Bobba Fett, Hans Solo, Greedo et , évidemment, Luke Skywalker et Darth Vader.

Ensuite, je ne sais pas si c’est à cause des photos que j’ai vues ou si ce sont de réels souvenirs mais je me rappelle les forts de neige démesurés que nous faisions dans la cour en face de chez nous. J’étais tout petit et sûrement d’aucune utilité mais j’adorais être à l’abri a l’intérieur avec toi.

Aussi, les prises de luttes que tu me faisais subir le dimanche (ou samedi ?) matin pour imiter Roddy « Rowdy » Pipper ou Abdullah the butcher. Maudit que j’avais mal et que je pouvais rien faire sauf crier « chut » et taper par terre trois fois. La prise en quatre, le marteau-pilon et le saut de la troisième corde (merci Ricky « the dragon » Steamboat).

Plus tard, tu as été dans les scouts et j’enviais ton uniforme, tes badges, ton foulard et, surtout, ton canif. Les week-ends que tu partais semblaient pour moi des expéditions dignes des grands comme Cavelier de La Salle ou Radisson. J’aurais tout donné pour partir avec toi et manger des guimauves autour du feu.

Je me souviens aussi des repas du dimanche soir que grand-môman préparait pour toute la famille et qu’ensuite, on allait te mener au terminus pour que tu prennes le bus pour Trois-Rivières et le séminaire. J’étais tellement fier d’avoir un mononc qui allait au collège que chaque fois que je passais devant les cadres des finissants à la petite école de Sainte-Anne , je ne manquait pas de te saluer avec orgueil

Il y avait un panier de basket sur un poteau juste en avant du garage peinturé en rouge. C’est là que j’ai appris a jouer, et a perdre, au 21 avec toi et tes chums. C’est aussi sur les deux carrés de gazon en face des deux maisons que j’ai su comment on lançait et attrapait une balle de baseball, encore avec toi (et Larry, et Bruno). Je me rappelle surtout ces soirs d ‘été ou je ne voulais jamais aller me coucher parce que je voulais encore jouer et que P’pa me couraillait pour aller me « chiper dans le bed ».

Comment oublier ces matins d’avril ou de mai que je me réveillait avec un pendu, sur la corde à linge de la petite maison, avec un chandail du Canadien parce qu’ils venaient de se faire éliminés ? J’ai tellement braillé. Surtout quand tu m’attirais vers la grande fenêtre chez grand-pôpa pour me montrer les glaces du printemps sur le fleuve en me disant que c’était celle du Forum qui descendaient jusqu’à la mer.

Ensuite, ça va un peu plus vite dans ma mémoire parce que tu étais pas mal plus vieux et tu bougeait beaucoup… dans ta Omni bleue. T’es parti à l’Université à Québec. Avant, tu as fais ton CEGEP à Sorel mais je ne me rappelle pas vraiment cet époque. En fait si, mais c’était comme avant pour moi, tu jouais avec moi et avec mes amis puisque que j’avais grandi. Toujours la même chose : Piscine, basket, baseball. J’allais dans ta chambre, la semaine, et il y avait un livre bizarre, une brique en fait, avec un stylo qui saignait, écrasé par une boule noire, fumante : Le Monde Selon Garp de John Irving. Je préférais encore les revues de lutte, cependant.

Je suis moi-même parti pour le séminaire quand est venu le temps. Et quand je revenais les week-ends et que tu étais là, quelle joie je pouvais ressentir ! Sauf que je ne comprenais pas pourquoi tu te levais aussi tard. (…). Anyway, je me remémore facilement ta casquette des Raiders (illico, je prenais pour les Raiders …).

Je ne sais plus trop si YDT existait encore durant cette période mais je me rappelle avoir écouté Maska Tree en boucle en montant au Séminaire dans mon walkman rouge. J’étais encore plus fier de dire a tout le monde au collège que j’étais ton neveu. Notamment a Brief .

La plus grosse influence est venue probablement sans que tu t’en rende compte. Grand-môman avait fait une brassée et elle séchait sur la corde à linge et j’avais vu un t-shirt de Pearl Jam. Je ne savais pas trop c‘était quoi mais j’ai été m’acheter la cassette au M. Ma vie a changée à partir de là.

J’ai grandi, tu as vieillis. On se voyait mais j’étais plus obnubilé par ma petite personne et toi, par ta vie, ta famille en devenir.

LE fait le plus marquant de notre relation, selon moi, fut sur le pont Victoria à la suite d’une défaite des Alouettes. C’était en septembre 2001. Eh oui, un de ces fameux jours d’automne après les attaques sur les tours jumelles, on s’est royalement pognés dans ton char (une Mazda Protégé bleu marine) et pas à cause que les Als avaient perdus. J’avais un encore un gros pinch et les cheveux longs à cet époque et je portais un foulard arabe. C’est là que je me suis rendu compte que j’avais à manger des croûtes en salament avant de pouvoir m’obstiner avec toi. Et surtout d’avoir raison. Le reste du trajet c’est fait dans le silence et je n’ai pas été voir un match des Alouettes avant 2006. Raison officielle : Je portais malheur.

The rest is just history. Pour moi comme pour tout le monde qui t’a connu, la famille, les amis. Tes niaiseries dans les partys de Noël, à la pêche sur la glace, etc. Les idées « de pas d’allure » (les règlements f..k you). Les discussions sur la politique. Descendre La Presse et ses chroniqueurs. Les découvertes musicales, littéraires et cinématographiques ou télé (« hey, ‘Ton », tu te rappelles les quotes inventées qu’on faisaient, fallais-tu être losers ???). Le sports, les stats, les pools. Maudit qu’on a eu du fun.

Encore ce matin, j’ai vu Réjean Tremblay dans la Presse qui avait deux pages dans le cahier Voyage qui parlaient de trip de moto avec ses accolytes de 104 ans. Je sacrais en lisant ça et, entre les deux fois où j’ai été trôner, je t’aurais téléphoner pour rire de ça.

J’ai tellement de peine et tu me manques déjà si cruellement

Tu n’es plus là, t’es parti. Mon idole, mon modèle, celui que j’ai toujours copié. Mon mononcle Ben.

(Écrit au son de The Wrestler ,de Bruce Springsteen , sur repeat depuis 3 heures, au moins.)

mercredi 8 juillet 2009

Ce que... (juillet 2009)

je lis: Millénium, Stieg Larsson. Que dire ? Un " page turner " policier. Impeccable surtout que ça se déroule à Stockholm, ville peu connue par rapport à N.Y., Londres, Paris ou L.A. (dans les romans policiers, s'entend). Oui, je sais, je suis en retard. Mais je me faisais un point d'honneur à ne pas le lire pour faire suer ma mère qui me l'avait fortement conseillé. Sauf que le film est sorti et je ne voulais pas tomber sur un "spoil" dans le journal ou en parlant avec quelqu'un. Ensuite, Même le mal se fait bien de Michel Folco, auteur de la trilogie Tricotin.

je regarde: Comme toujours, pas grand-chose. J'essaie de regarder Entourage que Lapsus m'a prêté mais je n'ai pas le temps ni l'énergie (...) de me taper une série télé. T'inquiètes Lapsus, si tu ne l'a pas promis à quelqu'un, je vais le voir au complet avant l'automne. Quelques films par ci par là, à la télé ou en dvd, rien de neuf.

J'écoute: Oh man ! 21 st century breakdown de Green Day. Quel album ! Ça fait pas mal mononcle de banlieue qui écoute de la musique semi-punk fort dans son char mais c'est tellement efficace ! Sans blague, basta l'indie rock incompréhensible et amener moi Billie-Joe et sa gang. Ça bûche et la trame est excellente.

Le blog n'est pas mort

Je sais pas s'ils désactivent les blogs après un certain temps sans publier mais s'ils le faisaient, nous devions être TRÈS près d'être rayé de la carte. Et ce n'est pas de la faute à Lapsus, qui était dans l'impossibilité de communiquer depuis... son dernier post.

Je me sent un peu comme Michel Blanchard dans la Presse, qu'on a tabletter (ou été contraint de garder moyennant une contribution au trois mois.), je ne sais pas s'il faut que je sois content de faire encore partie de l'équipe ou qu'on me considère parce que j'étais là au début.

Anyway, depuis mon dernier post, les frères Molson ont pris le contrôle du Canadien, ce qui me réjouit, tradition oblige. Et aussi parce que ce sont des Québecois. Bob Bob Bob a fait le ménage, il n'a pas été chercher " le gros centre" dont nous rêvont depuis belle lurette mais, comme il l'a dit lui-même. "aujourd'hui était le jour pour aller chercher du talent". D'accord avec toi mon Bob, le gros joueur, on ira le chercher plus tard, avant la date limite des échanges. A-t'on dit à Mike Komisarek que Milan Lucic allait jouer quand même 6 fois contre lui l'année prochaine ? Peut-être se dit-il que Steve Ott, lui, ne demandera pas à Lucic 40 fois s'il veut aller danser (salut, Dr. Love) ? Et Steve "le Grinder " Bégin qui s'en va jouer , lui-aussi, pour l'ennemi. Bof, je me dit au moins qu c'est un mariage heureux.

Michael Jackson est mort. Peut-être que tout le monde se rappellera un jour où ils étaient et ce qu'ils faisaient quand le Roi de la Pop est mort (on est loin de Kennedy ou Elvis). J'étais à la Centrale... J'espère que ma mère a gardé mon "jacket" rouge "full zip" comme celui de Michael, je pourrai le donner à mon garçon et lui enseigner le Moonwalk. J'ai aussi encore mon "long jeu" de Thriller. Quand même, se faire "poser" avec un tigre blanc, non mais faut-tu être quétaine !

L'édition de La Presse du Dimanche a été sacrifiée. Quelle tristesse. Comme dirait mon grand-père, "un matin sans Presse, c'est plate en sacrecum ! " (prononcer sacrékioum). Surtout que l'édition du Dimanche a toujours été ma préférée avec les sports, il se passe beaucoup d'événements sportifs le samedi, le cahier Lectures, le génie en herbes. Elle n'était pas décourageante comme celle du samedi, on savait qu'on pouvait la lire au complet dans une journée surtout... un dimanche.

Finalement, je me suis procuré un panier de basket. J'aime aller faire quelques paniers après souper, ça me rappelle mon enfance quand je jouais avec un de mes oncles, pas beaucoup plus vieux que moi, qui était un peu comme mon grand-frère, et qui m'a montré comment jouer (et être en maudit, et par le fait même, devenir meilleur, parce qu'il gagnait tout le temps au 21). Chaque fois que je joue, je pense à lui.

vendredi 12 juin 2009

Cinéma d'un autre siècle

Je vais baisser un peu la liste des ''films ou série 2009'', qui ne sont pas tous mes films PRÉFÉRÉS, comme l'affirmait erronément Ro...pardon Rictus dans un de ses précédentes chroniques.

Puisque la liste est longue, je vais essayer de me contenter d'une seule phrase comme commentaire.

Along Came Polly (2004): Bonne petite comédie romantique où Ben Stiller joue Woody Allen et Jennifer Aniston elle-même.

American Beauty (1999): Un film précurseur de l'ère bushienne, dominé par la perfection à la Martha Stewart sous fond de perversion à la Six Feet Under.

Babine (2008): Petit budget pour une grande histoire de Ticoune ou de Bousille, où l'oisiveté des habitants du village nous fait décrocher de l'histoire en bout de ligne.

Bull Durham (1988): Comédie très efficace, couplée à l'un des meilleurs films de baseball de tous les temps.

City Slickers (1991): Moins drôle aujourd'hui qu'à l'époque mais mention honorable au début du film et la crise maritale de l'un des personnages.

Doubt (2008): Excellent film où tout est gris alors qu'on s'attendrait à ce que tout soit noir et blanc, comme les habits de soeur de Meryl Streep, qui méritait certainement sa nomination au Oscars, tout comme Philip Seymour Hoffman.

Field of Dreams (1989): Un Bull Durham épuré qui montre le côté idéaliste du passe-temps national de nos voisins du Sud.

Forgetting Sarah Marshall (2008): Comédie totalement débridée où l'on s'esclaffe sur les gags gras et stupides.

Frost/Nixon (2008): Fascinant.

He's Not That Into You (2009): Comédie romantique ratée où on ne croit à rien. Kevin Connolly, gérant de Vincent Chase dans Entourage, devrait écouter les conseils de son personnage et éviter ce genre de scénario où il joue le même rôle avec les mêmes tics.

Love In The Time Of Cholera (2007): Quoi, l'alpha-mâle par excellence de notre courte époque, Javier Bardem, joue un prétendant reconduit qui est laid, timide, coiffé d'un chapeau melon, mais qui s'enfile les conquêtes féminins les unes après les autres? Possible dans un livre, improbable à l'écran.

Le Grand Départ (2008): Quelques bons gags malgré la présence du cast presque complet de La Petite Vie qui joue dans un registre plus dramatique.

Outlander (2008): Un journaliste du Detroit Free Press a qualifié de la film de meilleur de tous les temps, comme dans la phrase, The Godfather, unlike Outlander, is the best movie of all time.

Passengers (2008): Malgré la présence de la délicieuse Anne Hathaway, Tous les films ne sont pas The Sixth Sense ou The Others, si vous voyez ce que je veux dire sur la scénario et la réalisation.

Paul Mart: Mall Cop (2009): Pas si mal mais tout de même dans la catégorie ''la bande-annonce est meilleure que le film''.

Pulp Fiction (1994): Quelles scènes inoubliables qui font dans leur ensemble un film vraiment pas comme les autres.

Rain Man (1988): Moins bon dans l'ensemble que je l'avais imaginé, malgré évidemment la performance magistrale de Dustin Hoffman.

Taken (2008): Un thriller purement hollwoodien mais ô combien efficace pour tout téléspectateur qui a des enfants. Good luck.

The Reader (2008): Montrer son corps qui sort complètement des normes ultra-rigides de beauté de notre société obnibulée par ce concept a été payant côté Oscar pour Kate Winslet. Autrement, très bon film de toute façon. Je pose une dernière question. Si Hanna Schmitz avait été un homme et Michael Berg une femme?

The Terminator (1984): On change de registre. Un film à la limite de la série B mais hautement violent et bénéficiant d'un scénario prometteur pour une suite et une franchise.

jeudi 11 juin 2009

300

J'attendais, j'attendais, j'attendais que Rictus, toujours inspiré et inspirant, tellement que je me demande des fois si Ronald King ne se cache pas sous ce pseudonyme, enfin bref, j'attendais que Rictus écrive ce 300e billet. En vain.

Comme nous sommes adeptes des listes sur ce blogue, voici les sujets précis les plus abordés depuis le 16 mars 2008:

1. La Presse (12 billets)
2. Réjean Tremblay, aussi connu sous le surnom de ''Grand Reporter'' avec safari suit, au bras d'une burkina fasienne (8).
3. Richard Labbé, sans football, on en parle moins (8).
4. Dignes représentants de l'aide sociale, c'est pas gentil ça (4). Mais ça vaut la peine d'aller voir le sujet de notre courroux: la foule du Tropicana Field, John Goodman dans The Big Lebowski, Ti-Guy Émond et la madame qui veut ramasser la m... des vieux sans passer ses mathématiques.
5. Pierre et Yvon. Bye-bye Yvon. Et non, tu n'as pas été engagé comme adjoint chez le Canadien. Brunet lui, presque (3).