Cette bonne vieille Presse...

Richard Labbé (en suite à Benicio): Quand tu as les bons ingrédients et la méthode, rien de plus facile que de réaliser une recette !

Ne vous en faites pas M. le chroniqueur foot-rockeur, je vous lis parce que ça m'intrigue. C'est l'étape médiane. La première étant le plaisir de découvrir vos railleries le lundi matin envers les Browns et les partisans des Raiders. Plaisir depuis longtemps envolé (on dirait du Isabelle Boulay mais c'est bien de moi.). Le dernière étape, où en sont plusieurs de vos ancêtres de la section des sports, est la vendetta. La guerre ouverte.

Merci Richard, ne change surtout pas, tu gradues bientôt. C'est Foglia qui doit s'ennuyer de Bob...

(Je tiens à dire que la direction de La Presse et Gesca ne partagent pas nos opinions. Nous avons tendance à idéaliser ce journal, à prendre les journalistes pour des personnes réelles que nous côtoyons chaque jour. En fait, c'est exactement ce qu'ils sont: des acteurs dans une pièce quotidienne. Nous sommes les spectateurs, la seule critique qui importe vraiment.)

Vu dans La Presse du 7 août 2008: cahier sports (vous savez, celui que l'on ne trouve plus parce qu'il est bleu-ou-vert-ou-mauve. Salament, rouge comme avant, rouge comme dans Chine, rouge comme dans Canada, pas dur à comprendre, non ?) à la page 3: Une jeune Sheila Copps en maillot de bain. Son LZR est arrivé depuis peu, elle pourra donc fendre l'eau de.... Attendez, ce n'est pas Sheila Copps ? Hon, s'cusez, c'est Audrey Lacroix ? Désolé ma belle, bonne chance aux jeux et fais attention si une polonaise t'offre un shooter qui boucane la veille de tes qualifs.

-Au début, je trouvais que m'étais fait avoir en héritant du nick de Rictus (c'était un clin d'oeil à un poète du 19 ème siècle (..?) que mon collègue avait trouvé, concept bien vite abandonné me laissant tout con avec ce surnom abscon (il est tard.)), finalement, je le trouve pas si mal vu le fait que je suis plus souvent qu'autrement sarcastique, vindicatif et purement gratuit.

Bonne nuit les tout petits.