Le Coach

Laliberté et le Grand Prix : Je sais pas, j'en ai surement raté une de Stéphane Laporte mais il me semble assez clair que Ti-guy sauverait le Grand Prix pour sauver son party, non ? Ça me semble '' ivident '' (celle-là, je l'adore. Euh, la joke, pas Mme. Couillard.) Je comprends pas que personne l'ai sortie avant moi. Enfin, ça revient au même, avec le nombre de lecteurs qu'on a, elle est destinée a sombrer dans l'oubli.

RT: Faut croire The B que nous ne sommes pas les seuls adorateurs du Grand Reporteur. Au travail, l'après-midi, j'écoute souvent CKAC et j'ai eu droit a un moment d'anthologie où un intervenant à parlé en mal de Réjean Tremblay, qu'il a lui même surnommé RT, disant que qu'il n'avait pas d'affaire à 110% (que je n'écoute pas, quand même) et qu'il ne comprenait pas pourquoi tout les débateurs sur le plateau lui vouaient un si grand respect (en gros). Et le bon Jean-Charles de se porter vaillament à la défense dudit RT en disant que c'était un journaliste indépendant ayant acquis ses lettres de noblesse en travaillant d'arrache-pied sur le '' beat ''avec le Canadien dans les années 70-80, harcelant l'Organisation pour obtenir des réponses, sans jamais perdre son intégrité (bon, il n'a pas vraiment dit ça mais j'imagine que c'est ce quoi il faisait référence en parlant de son travail passé). Ouais, tu parles, plutôt en fumant la pipe, en buvant une couples de petites et en jouant au cartes avec Peanut, Lafleur et le Sénateur. J'appelle ça minauder. Ou têter. Anyway, le fait est qu'il obtenait quand même ce qu'il voulait, c'est-à-dire des scoops. Sauf qu'on parle pas de Pulitzer... Pour ce qui es de ses chroniques actuelles, l'animateur à dû avouer que plus souvent qu'autrement, il n'était pas d'accord avec ses opinions mais qu' il les respectaient et que c'était bien pour le débat qu'elle soient dites (autant sur le plateau de 110 % que dans La Presse). Pour finalement dire que c'était AUSSI un grand auteur de série télé et que dans Lance et Compte, chaque québécois y trouve son compte , justement. Soit. Sauf que j'en ai rien a cirer des auteurs de téléseries quand , dans mon journal, le matin, je envie de lire des nouvelles de baseball ou des reportages sérieux sur les autres équipes qui existent dans le monde du hockey (non, pas seulement les Sags) que ce soit la LNH, LAH, LHCE (on entend parler des Cyclones de Cincinnati quand la saison est finie), du basket, du foot, du soccer, nimporte quoi sauf la vie des gens riches et célèbres genre Paris-Match-pas-de-photos (donc, poche) en page 2 du cahier des sports. Pis de doute façon, on l'a-tu su d'avance qu'on perdait le Grand Prix ? Where's your scoop-mojo, Reggie ?

Ah ! Ça fait du bien d'en parler ! N'en demeure pas moins que je commence à me sentir quasiment cheap de faire du Tremblay-Bashing à tout les 2 posts. De toutes façons, il ne lirait pas notre blog, trop de fautes et d'anglicismes. (En ce qui me concerne, s'entend)

Pour terminer, une autre montée de lait. Les ex-joueurs devenu ''joueurnalistes'' qui surnomme tout anciens entraineurs ''coach'' en les interviewant. PU CA-PA-BLE. Tab.. Il a un nom le monsieur avec qui tu parles puis inquiètes toi pas mon petit chéri, on se rappelle que tu as déjà joué que ce soit au hockey (surtout) ou au football. C'est pas en plantant ''coach'' à toute les phrases que tu vas nous le faire oublier, pour notre plus grand malheur, peut-être une petite consultation serait la bienvenue ? Quelque chose de pas réglé avec ton passé, ta retraite ? Non mais, un gars avec une couette qui jouait au football canadien en 1734 qui donne du ''coach'' gros comme le (son) bras à Pat Burns, probablement le moins sensible à cette forme d'obséquiosité, ça me tape sur les nerfs !!!! Peut-être en joke, une fois de temps en temps mais faudrait se garder une petite gêne, on se croirait dans une réunion d'anciens combattants qui de se donne du sergent et du colonel au Tim Hortons de Thunder Bay. (En fait , c'est EXACTEMENT ça.)

Inquiètez-vous pas, je vais bien dormir après m'avoir envoyé une lasagne au tofu et épinards avec un verre de vino en lisant La Presse.