Je t'aime Fred

Je ne parle pas de Fred Fortin, quoique je l'aimais bien, particulièrement Le pouding à l'arsenic et La Traversée. Oh, je pense que je me mêle avec le conteur.

Mais mon propos n'est pas de discuter de ce Fred ou de cet autre Fortin mais bien de Fred Vargas et de son dernier livre, Un lieu incertain.

J'aime bien les romans policiers. En fait, surtout ceux de Fred Vargas et ceux de Henning Mankell, l'auteur suédois. Si je devenais écrivain, je pense que j'écrirais des polars de ce genre avec un enquêteur un peu alcoolo sur les bords.

Enfin, revenons à Adamsberg, le héros des livres de Vargas. Je ne raconterai pas l'histoire mais disons encore une fois que le récit est très riche en considérations culinaires, médicales, géographiques, linguistiques et historiques.

J'aime ce souci de rendre une histoire plus dense avec des descriptions concernant ce que les protagonistes mangent, comment est souvent maquillée la scène du crime, où vivent les gens, comment les tueurs inscrivent souvent le meurtre dans une perspective historique.

Pour en savoir plus sur certains détails du livre, voir ces rubriques wiki sur le cimetière Highgate à Londres, le vampire qui a hanté l'endroit et Élisabeth Siddall, épouse décédée, inhumée et exhumée et conservée. À donner des frissons.