Australia : Ce film mettant en vedette Hugh Jackman et Nicole Kidman se voulait un rappel des grands films d'autrefois comme Gone With The Wind où romance, action et histoire se mélangeait habilement devant des spectateurs qui ne pouvait s'attendre à autre chose puisque le cinéma n'offrait que ce genre. Aujourd'hui, le film en souffre. On ne sais pas justement si on doit le juger sur l'action (pas assez), la romance (fade), l'histoire (moyen) ou même l'humour (ok). À regarder avec votre blonde.
Changeling : Excellent film réalisé par Clint Eastwood. Histoire sordide mais scénario solide, tout comme la performance d'Angelina Jolie qui pleure dans 95% du film. J'imagine que dans The Reader, Kate Winslet pleure 100% du temps?
Le Banquet : Excusez-moi si je spoile l'histoire du film, mais avions-nous vraiment besoin au Québec d'un film qui parle d'une autre tuerie dans une école? Après Polytechnique, Concordia et Dawson? J'ai détesté. Et je n'ai pas trouvé Alexis Martin si bon que ça. Il était robotique.
Passchendaele : Gros stock. Assez gros navet. Je me disais que les journalistes québécois plantaient le film juste parce que celui-ci avait été fait au Canada anglais mais non. Il méritait pleinement les mauvaises critiques. Scénario faible, dialogues insipides, deuxième degré absent ou raté, scènes de guerre réussies mais occultées pas la fin absolument invraisemblable.
Quantum of Solace : Un Bond typique, un peu renouvelé, très bournien effectivement, beaucoup de corps à corps. Ça fait drôle de voir le héros (Mathieu Almaric) de Le Scaphandre et le Papillon devenir le méchant de Bond. Très bon divertissement sur un grosse TV, surtout si vous avez la chance d'ajouter le cinéma maison et le Blu-ray.
Avant le CLSC
Il y a 15 ans
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