jeudi 24 juillet 2008

Retour

Salut tout le monde (...),


Ça fait un bail, je sais.


Mais vous ne serez pas déçu. Bientôt (samedi), j'arrête de travailler comme un mongol et je vais pouvoir me consacrer plus assidument à nos élucubrations blogosphèriennes (ouf, Patrick Lagacé serait fier de moi. En fait, peut-être l'est-il ? Lui qui squatte le Net en permanence.)


Sur ce , j'ai un petit poême de mon cru:


Dernier méchoui samedi
Vous allez voir que pour vous lundi,
chroniqueurs de La Presse du samedi,
que ce ne sera plus Feng shui.


OK, ce n'est pas du Miron, ni du Ron Fournier (quoique...) mais ça a le mérite d'égayer votre vendredi (Comme vous l'avez sûrement remarqué, je suis fort sur les parenthèses et mon but est de nommer tout les jours de la semaines dans ce post .)


Partant du fait que je n'ai pas écrit depuis longtemps, je vais y aller d'une petite mise au point en trois étapes:


Ce que je lis: Encore Ludlum. Tel Jason Bourne dans le dernier volet de la trilogie, je m'essouffle quelque peu et je ralenti la cadence. Les intrigues ne sont plus aussi bonnes dans La vengeance dans la peau que comme dans les deux autres précédents opus. En fait, elles sont aussi bonnes mais seulement plus prévisibles; le style, convenu, et les dialogues, à vrai dire, minables. Rien à voir avec les débuts, comme quoi il y a une recette pour tout. (Croyez-moi, je sais de quoi je parle.)


Ensuite, J'ai commencé Ken Grimmwood, Replay, excellent bouquin de science-fiction dont je ne comprends pas pourquoi je n'avais jamais entendu parler avant de le lire sur un autre blogue...


Ce que j'écoute: Là où ça fait mal. Rien de nouveau. Toujours obsédé par Viva la vida , et dernièrement ( j'aurais jamais cru écrire ça sur internet), par Hard Candy de Madonna. Surtout Give it 2 me. My god, am I gay ? Mention honorable : Alexandre Poulin, Un bout de temps.


Ce que je regarde: Rien. J'ai écouté Gangs of New York, la semaine passée avec ma blonde et on s'est demandé c'était quoi le message. Un peu comme No country for old men. Toujours des métaphores. Sauf que pour le film de Scorcese, c'est la genèse de l'Amérique (...). Sa folie, ses phobies, comme tout autre nation naissante, envers les '' étrangers'' qui viennent la peupler, des '' natifs '' ( à peine une génération) craintifs envers leur mainmise sur les valeurs du pays. Pays qui n'existe qu'à peine, qui s'entre-déchire bientôt dans une guerre où les querelles de quartiers sont releguées à l'arrière plan... Mais le film fini là-dessus. Facilement une triologie. Avec un retour en arrière en Irlande pour mieux comprendre le tout. Tiens, ça me fait penser à quelque chose de Coppola !


J'ai perdu la moitié de mon post et je suis en ta... alors je vous laisse, il se fait tard et les jours de la semaine, ben ce sera pour une prochaine fois, salament.

Ciao





1 commentaire:

Lapsus a dit…

Je suis content que tu sois re retour Rictus.

Give it 2 me? Mets-en que tu es gay. N'importe qui trippe sur une toune avec un chiffre qui change un mot l'est.

Mais je t'appuie, elle est bonne cette maudite toune-là. 2 good to be true.