jeudi 26 février 2009

Des films en rafale...

99F: Je crois que le personnage de Jean Dujardin dans le film, prend un peu trop de drogue. Je blague. C'est tout de même un bon divertissement. Que de personnages chiants et de femmes racing. Très fédératif comme film (je voulais ploguer ce mot). En passant, le livre ou le film? Le film!

Confessions Of A Shopaholic: Comme Dumas dans La Presse, il faut effectivement avouer que le personnage central du film s'habille très mal pour une chroniqueuse de mode en herbe. On se serait attendu à moins de couleurs, de haute-couture et à plus de complet-tailleur très chics. L'histoire est toutefois très traditionnelle et tout de même assez fidèle aux livres car il faut dire le scénario du film s'inspire des deux premiers romans de Sophie Kinsella. La transposition de l'histoire à New York, au lieu de Londres, se fait plutôt sans heurts, contrairement à ce que je pensais au début du générique. Une belle petite comédie romantique.

Eagle Eye: C'est le film qui me faisait manquer les Oscars dimanche dernier. Ça ne valait pas vraiment la peine. Un film d'action à suspense assez surprenant mais tout de même assez hollywoodien.

I'm Not There: Très beau film, très lèché, tourné en partie à Montréal. Oui, NOTRE Roc Lafortune joue dedans. Sauf que je n'ai rien compris. Je crois qu'il faut être un fan fini de Bob Dylan pour comprendre le film. Connaître ses multiples visages et sa biographie complète et détaillée. Je viens tout juste de découvrir cet article en anglais sur wikipedia.

Pineapple Express: Je vous avais déjà dit que j'en avais marre des films de slacker? Je n'ai pas terminé le film, trop con et j'étais trop à jeun. Sauf que j'ai vu Seth Rogen aux Oscars. Il a le SIDA ou quoi? Mange des Doritos et bouffe du McDo mon Seth, tu es laid avec 30 livres en moins.

The Visitor: Ceci est le film qui a valu à Richard Jenkins, le père de Six Feet Under, la nomination pour l'Oscar du meilleur acteur. C'est un film moyen, avec de bons flashes, qui abordent plusieurs thèmes à la fois: désabusement, veuvage, crise de la soixantaine, immigration clandestine, 11 septembre, multiculturalisme et musique. Ce sont les scènes avec ce dernier thème justement qui sauvent le film d'un ennui presque mortel.

W.: J'ai bien aimé ce film, très à contre-courant à mon avis. Évidemment, le personnage principal n'est pas à son meilleur dans le film mais c'est un portrait réaliste, ce qui est en soi très audacieux de la part du réalisateur Oliver Stone qui aurait pu démoniser le 42e président des États-Unis. Je dirais même qu'il est attachant sous les traits de Josh Brolin, excellent dans ce rôle, meilleur à mon avis que dans le rôle de Dan White dans Milk. Avec beaucoup de scènes savoureuses, W. est un film divertissant et léger malgré le sujet et les conséquences de toute cette histoire sur le monde.

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