Marley & Me: Effectivement, bien que la pochette soit attirante, ce n'est pas une enième version de la recette hollywoodienne de Beethoven. C'est une petite comédie romantique qui tourne au tour d'une grosse quiquine, d'un gros malabar mal-léché, d'un grosse délinquant attachant, bref d'un gros chien. Avec un résultat assez réussi quand même. Heureusement pour nous les gars qui auront à se taper cette sympathique comédie romantique, la grosseur ne se limite pas au chien mais aussi à ce qui a sous le chandail de Jennifer Aniston.
Monsters vs Aliens : Comme film d'animation pour enfants, j'ai déjà vu pire mais j'ai déjà vu mieux, même si le prix reste le même pour une famille de quatre, c'est-à-dire le paiement mensuel d'une sous-compacte. Contrairement à Madagascar par exemple, on ne s'attache pas vraiment aux personnages, sauf Susan ou Bob, le sympathique blob qui engloutit tout ce qu'il peut. Bons gags pour adultes toutefois comme par exemple lorsque l'état-major américain se réunit : ''Vite, appelons tout ce que l'Amérique a de mieux comme scientifiques''. Et un général de répondre, ''appelons en Inde''.
Rachel Getting Married : My Big Fat Greek Wedding meets Girl, Interrupted. Anne Hathaway offre toute une performance dans ce film intime dont certaines scènes ont été tournées comme une téléréalité. Autrement, le thème et le scénario m'a fait penser à Margot at the Wedding. Je suis toujours étonné par la capacité d'Hollywood d'arriver avec des films semblables à des mois d'intervalles, comme si certains scénarios donnaient des idées à des studios concurrents pour arriver avec les même thèmes, sans nécessairement que ce soit du plagiat. Mais encore une fois, Kate Winslet a besoin d'être très bonne dans The Reader pour éclipser Hathaway ou Jolie.
Seven Pounds: Avez-vous déjà remarqué comment Will Smith ne joue jamais dans des films où il partage la vedette? Ce film ne fait pas exception. Deux attitudes possibles pour le spectateur. Ou vous voyez dès les premiers instants où ça s'en va ou bien vous le découvrez à la fin. Moi, j'étais plutôt perdu même si j'avais une légère intuition. Aimé ou détesté? Aimé.
Slumdog Millionnaire : Voir ici la critique originale. Pour une raison que j'ignore, meilleur la deuxième fois. Peut-être qu'on saisit mieux la chronologie du scénario lorsqu'on connait la fin, qu'on apprécie plus.
The Day The Earth Stood Still : C'est un OVNI! C'est un Jello! C'est un robot! C'est un moine!C'est un acteur! C'est Keanu Reeves! Plus expressif que ça, tu t'appelle Bob Gainey. Dans le genre, malgré l'acteur, ce n'est pas un mauvais film. Toutefois, la scène de Central Park est presque une copie conforme de celle dans Monster vs Aliens. Essayez de ne pas rire.
The Pink Panther : Pas celle avec Peter Sellers mais avec Steve Martin. Complètement con. Scénario stupide à souhait. Et l'accent de Martin? Comment ont-ils réussi à tourner les scènes? Ils doivent en avoir eu assez pour 4 DVDs de bloopers.
The Role Models : Avec le Stifler de la série American Pie, un autre comique qui n'en a pas de reste. Quelques bons flashs mais le meilleur du film reste concentré dans sa bande-annonce, ce qui est toujours mauvais signe. Laissez-le sur la tablette.
Twilight : Beau petit film d'amour. L'action est plutôt restreinte pour un film de vampire. Et c'est assez surprenant, la religion est totalement absente de l'univers de l'auteur de roman qui a donné vie au film, Stephanie Meyer. Normalement dans l'imaginaire vampirique, on parle de démons, de crucifix, de cercueils. Drôle d'époque. Il faudrait relouer Dracula avec Oldman, Ryder, Hopkins, Reeves ou bien Interview With A Vampire avec Cruise, Pitt et Slater.
Watchmen : Voici un cas ou la décantation n'est nécessairement une bonne chose pour un sujet de chronique. Watchmen ? C'est quoi donc? J'avais lu la bande dessinée avant de voir le film alors il faut dire que la version cinématographique est assez fidèle à la version papier, je dirais même que c'est un film très esthétique dans sa noirceur. J'ai aimé, je n'ai pas trouvé cela long mais effectivement, le film est violent (gore) et fasciste, même si c'est le message contraire qui est véhiculé dans le film. À louer, sans les enfants.
Yes Man : Jim Carrey vieillit mal mais il y a tout de même des bons gags dans cette comédie légère.
Avant le CLSC
Il y a 15 ans
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