mardi 3 février 2009

L'université du contact, retour sur le Super Bowl XLIII

Je me suis encore trompé dans la prédiction finale pour le gagnant mais je pense que j'ai bien prévu comment le match s'est déroulé:

  • Warner (31 en 43, 377 verges de gain, 3 touchés, 1 interception) n'est pas effectivement Flacco
  • Personne n'est FITZ (7 attrapés, 127 verges, 2 touchés)
  • Polumalu joue en défensive (0 tackles)

Cela dit, les Steelers ont fait ce qu'il fallait pour gagner.

  • Courir avec le ballon (58 verges par la course seulement mais 33:01 de temps de possession)
  • Empêcher l'autre de courir avec le ballon (33 verges de gains au sol pour les Cards)
  • Éviter les erreurs (les revirements (2 pour les Cards contre 1 seul pour les Steelers), mais aussi les pénalités (11 punitions pour 106 verges pour Arizona) )

Ce fut une belle partie qui a été sauvé par une 4e quart endiablé. Car il faut avouer, les trois premiers quarts étaient à l'image des gagnants, c'est-à-dire soporifiques.

Le jeu du match? L'interception de Harrison? Non, le retour d'interception de Harrison sur 100 verges. Les joueurs des Cards ont dormi sur le jeu après l'interception. Il est presque inconcevable qu'un secondeur ait ramené le ballon sur une telle longue distance, même avec tous les blocs nécessaires, surtout qu'il a couru presque tout le long très près des lignes de côté.

Monday morning quarterbacking: Bien qu'un touché à la fin de la demie aurait donné le momentum aux Cards, je ne suis pas sûr qu'une passe était un choix judicieux à ce moment-là. Ils auraient dû essayer une course, quitte à se contenter d'un placement.

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